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2 - Mes Concomitances 

 

 

         Il lui fallait remettre de l’ordre dans sa maison ; je suis en vacances de mes mains, adieu - où l’autre ami rendait l’espoir. Ce qui m'ennuie ou enrôle est cette forme de l'interdit qui s'oppose ou impose au coeur de la langue, à l'espace qui se voue à sa transgression.

         Pourquoi j’ai secrété (je ne sais pas) : l’être décentré montrerait patte verte, je ne sais pas encore si je veux, mais en ignorant rien les mots n’existèrent pas, qui ne sont que poussières cela bien d’avantage que vous ne le serez jamais - le tri fait avant l’heure qui gagnait à vous rassembler : une bénédiction ne se faisait plus par l’argent, ce pain béni de notre enfance. Faire ou donner ? il faut choisir.

 

Reposer l’esprit

Qui divaguait sans cesse

Lune amusée

 

Les morts nous parlent

Imaginons l’espace

Le ciel éventré

 

 

         Je dois - j’ai dû dans un équilibre adverbial. Il ne me touchait pas ; je dis avoir pu craindre en tant que femme de l’évidence et de sa part d’éternité de la « dureté du mâle » en soi entraînant bien le froid de marjolaine. La blessure était si profonde que j’ignorais encore qu’il me serait possible de l’aimer : je me retrouvai aussi responsable.

         La lutte était sensée dans cet ensemble maussade. Nous avions trois divins otages, mère de sens avisée sans un rancard, la joie lutine, avec l’audace de faire et de défaire dans un angle mort et te retrouvant sans aucun courage - sensible aux autres qui m’envahissaient de leur présence lasse, ayant sans le vouloir battu en retraite, les mots dans l’embrasure du soir maudit : nous n’avions eu ici ni l’envie ni la trace - nos arbres décennaux tendancieux outranciers, la discipline opère : nous n’aurons jamais lu, jamais pu, jamais cru.

 

La maman m’a dit…

Respire avec ton coeur

Cet oiseau chante

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