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L’interdit qui transparaissait…
La vie était là
Impossible à nier
Son bouillonnement
…son enfermement.
…son enseignement.
Revivre un peu, en dehors de ce cirque de nos histoires bleues ; à bonne distance.
Vue détachable
Un cliché du seul passé
Multiplication
Les enneigements
Une passion mousseuse
Votre admiration
J’aurai silencieusement suivi l’aura des autres, ignorant tout de ce qui animait leurs fesses au départ, à l’arrivée de nos amitiés feintes sociétales, bancales en proie à quoi pas assez muettes. Activités méditatives - un chant d’écoles partisanes, nos seules entrées suffisaient-elles pour nous perdre. Je ne me sentais pas forcée d’alimenter, ni d’augmenter. C’est un constat peu formaliste auquel elles furent forcées de donner naissance : le premier exercice disciplinaire ou « ferme-moi ça », qui poursuivre - sinon penser à déjanter.
Je me reposerai de ce train d’enfer forcé de mener l’air du temps de pollutions non résineuses : « Tu écris un roman », alors les mots s’impriment dans l’éhonté souvenir du seul écho unique ? « Je n’ai pas d’avenir » - je suis sans avenir… La production des poubelles hantées aura fait mine déjà de tout (ré ?)orienter : auras ? Que de petits rectos-versos, comme on tartine du beurre ! allers-retours giflés d’inflammations de l’ego bien dimensionné, ce page à page et ancêtre du cas par cas de trop belles* soirées déconditionnées.
« Surprendre tout le monde ». Il paraît qu’il faudra. Le projet d’écrire est très dangereux, tu sais… (Quant à l’envie de vivre.) * Bientôt nôtres. Projets en cours ? la rédaction d’un livre placardé (très sexuel évocateur de scènes de rues restées inconnues désirées par tous), mais pas partout. Où : « j’ai fait sauter l’point », vivant des morts reconverti. Elle t’a écrit ça donc, en quelque mots.