Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

496

         Il y avait nous, il y avait moi, nous aurions été… : une centaine de pages pleines de quoi ?!

 

Nous ressentons cette accélération du vide et nous la laissons dire.

Cela ne nous emporte pas plus loin.

 

 

         Génie, non. Jalousie, non. Mauvaise conscience, non. Extraction de nos propres souvenirs douloureux dans la chasse à l'or aux pépites. Et puis, partage inopportun ? de nouveaux nerfs et la fermeture diurne des fentes de vos yeux, c'était un peu comme de cracher au bassinet chez le dentiste, avant de rincer : la belle image et grandiose tentation du bain.

          On entend gargouiller. « Histoire vraie ? je prends. » Mais, qu’est-ce qu’une histoire vraie ?, qu’une histoire et comme le rabattant de pan de la jupe ventilée par un air soufflant du métro ; avec de très beaux entretiens qui n'excluent personne, ici, la mort est déclinable : à ce rythme à ce stade, valait-il mieux parler de petit con ou de drôle ? je m’interroge… Bah, c'est aussi qu'on a beaucoup parlé de psychologie aujourd'hui aux nouvelles, une sorte de revers on l'espérait qui aurait pu ôter ce vernis qu'on nous met sur la peau avec ce dico si bizarre, comme un peu quadrillé ou tramé.

 

          Vous avez ligoté* notre amitié durable et laissé gigoter votre poisson devant ma porte. Il y a donc extension du froid. « Ce qu’a fait l’un… ce que fait l’autre. » La sirène, à nouveau tentera de faire trois pas dans l’exigu passage. « …il m’oblige - oblige-t-il… »

 

(*refusé)

 

En cours et pas à suivre…

 

 

          Ce sont ainsi des phrases courtes… le phrasé long, on départage : « Eliminer - évincer : retarder - répudier ? » - paiement refusé ? il forgera un vagin artificiel. Et j’aurai donc failli tout perdre ; ce qui est affaire de bonne foi devenu cette façon la plus drôle de remercier pour être : « sans compter la psychologie sauvage » est affaire de hasard sur son terrain.

Les commentaires sont fermés.