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J’ai besoin du lieu
Pour telle dédicace
Sans quoi cet enfer
Des monstres attablés dans son étable ? pourquoi pensas-tu qu’ils me chasseront ! Son vilain découpait l’azur ; « libère-toi… » zingua-t-il d’un aveu plus fort en dissonant faux. Elle n’arriverait plus à dire qui ne se lût dans un regard. La divine aura fui et ne salivait plus. Nous n’irions pas toujours chanter, de l’aubépine peinte : « La victoire est à nous ! » en jalousie d’épiphanie. Vous n’allez pas encore tendre à la belle espèce un câlin d’eaux rangées.
« Elle est à moi ! » Eve en fermant son pain dans son cabas le tutorait des espaces verts. « Nous allons vraiment bien manger, vous verrez alors mes petits ! » La mousse à son menton d’orfèvre évoquait la moisson fromagère. Son cheveu pâle au teint, miroitait d’accroche-coeurs meilleurs ou attitrés. Tout irait bien ainsi, tandis que tel agent immobilier considérerait tous, en oubliant chacun et qu’il se mit ici à faire une chaleur finalement si rauque administrée que personne ne se trouvait déjà plus serein.
Il s’agit d’une histoire de lieux qui s’écrivit de manière fracassante. « Pourquoi voudrait-on qu’il en soit autrement ? » Les mots sont salement difficiles. Elle est encore bien trop fragile pour qu’on puisse y laisser lire son nom dans la cage et voudra qu’il s’en aille avec un alibi.
« Mon amour vétéran, combien veux-tu ce soir pour m’aimer ? »
Il fallait le croire pour l’oser, Eve s’est mise à danser, si joyeusement dans l’air du soir hautain depuis sa perspective. Un chagrin de relents tente de composter les veines d’un désespoir osseux. Je remisais des mots sans l’attente du pire. Les crayons débordaient comme un flot qui s’inonde. Nous étions bien, légers de tant de noir : « Referme le bouchon, dépêche-toi ! » Fais vite !
L’agent immobilier se détournait de moi, son regard en cadence épousait bien les formes et la maison de l’autre en son seuil rendue… Que serait-ce pour moi dans la fracture obscène ? La parole d’un même et la place embrasée dans l’obsession vorace du lieu qui s’interdit ou de sa place offerte. Allez-vous en mes malicieux amis aux pattes qui s’animent !, joli cerveau s’allume sans éteindre mon coeur.
Réalité nue
Votre présence ici
Parmi la sienne