482
- Il épanchait mes yeux, de ses doigts vers moi… « La raison que vous avez de vous exprimer, est de les empêcher de recommencer : sur un mode ou sur un autre ; le plus difficile est peut-être de voir et de vivre après ça. »
Sous la violence du choc, une douceur : - …à quoi sert-il d’écrire, la tête dans une atmosphère ? à y respirer ? Je suis fatiguée versus je me repose. Il vivait à Paris, mais loin d’elle (loin de personne), blé fauché de ses phrases : Elle va comment ?! - son influence (zone d’influence)… - Fais-toi plaisir. (Putain de vicieuse.) - Il faut que tu saches : j’ai vidé tout mon seau.
Ses yeux hors de la tête dans son vide toujours carcéral, Elle restait là debout postée dans une stature d’alien mériméenne : j’attends ma mort à moins qu’il ne sache ce qu’il fait et pour la meilleure cause (- …ce qui peut s’espérer).
« C'est peut-être le procédé d'une exagération nécessaire où vous forcez le trait qui rend l'histoire abjecte, comme si vous y preniez alors le parti pris de raconter (à) vos parents à travers l'ombre qui les traverse qui est sans doute à l'origine de ce que vous avez souffert en partie. »
« Le mieux est l’ennemi du bien », pas le meilleur : arriver sans rien, mais sans risquer de faire de l’ombre ? Les émotions sont vives, sorties du carquois pauvre en flèches. - Ah ? vos parents sont morts. - Oui tandis que je les aimai éperdument.
Assurance assurée - encore, pas de femme. « Je n’appelais plus personne, je n’aimais plus personne. » Pas une autre femme.
Un garçon gobe
Petite amulette
Singe l’amoureux
Arrêt du savoir
Face à l’aube si claire
Un destin heureux
Paris en un jour
Liane désirable
Quand jeter les dés
Assassins du jeu
A quatre yeux distancés
La tyrolienne
Je te déteste !
Amour défunt sans le noir
Espèce de creux