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Cent années folles

Selon ton éternité

A se désirer

 

Fête Joyeuse

Cette route dessinée

Des hirondelles !

 

 

         Il a fallu que tu te sauves et m’enseigner ici l’amour sans  l’inimitié souveraine. Il a dû retrouver ton souffle et m’a prise dans ses bras, cet arbre - mon prunier le plus grand ; c’est encore une musique qui s’écrit là. Je n’ai pas besoin de la ville, mon astre conquérant n’a pas vécu la veille.

 

Son très grand Amour

Amour de ma vie sauve

Tel engendrement

 

 

         …il a fallu s’impliquer : nous aurions eu l’autonomie des étoiles pour horizon, embrasement déjà obscur du ciel qui nous côtoie, ta langue verte et ses attachements. Je me suis trompée de partage : il faut cesser d’illuminer tout ça qui gravitait ensemble sur cette terre ; on dit parfois des choses quand elles ne sont pas vérifiées. 

         Je te vois - vis, espère et puis je viens ? assez faible coutume. Je ne me souviendrais pas même encore des gris du temps qui passe… pourquoi veux-tu toucher ? sérieux, mais pas sévère. Le chat dont j’ai besoin n’est pas né sans l’orage, j’attaquerai TOUS au risque d’y perdre la trace et courage : étang des morts, une seule femme - tout un lieu dans l’absence des mots qui s’ignoraient si mutuellement ; je meurs. Il suffisait que je taille mes outils - l’inconsidération même, « et sinon ?! laisse tomber. »

         Comment vas-tu, mon sang ? battu, battant à mon oreille : son écoute sauvage a résolu ton coeur des chairs opaques et volontiers bavardes ; Paris, dans cet espace terne - manque un peu… - on rampait, n’est-ce pas ? Mon assurance offerte à la croix de ton souvenir, il fallait bien briser la glace de nos liaisons éparses. Automatisme aux vérités connexes, je m’écarte du même et pourtant, les mots sont là qui indiffèrent, inutiles patriciens d’une aube noire, parasites ambiants du relai de ce que l’on n’est pas et deviendrait, deviendra, et devenait peut-être.

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